Générique de fin...

Pour conclure, l'on fera référence aux travaux de Gilbert Durand dans Les structures anthropologiques de l'imaginaire. L'histoire ne serait pas à l'origine des images, ce serait elles qui nous fondent. On ne devrait donc pas seulement les considérer comme déformation de la réalité mais bien comme essence de la construction de notre histoire, personnelle ou universelle, essence de notre identité. On pense alors à Victor Hugo qui déclarait : "On jugerait bien plus sûrement un homme d'après ce qu'il rêve que d'après ce qu'il pense."

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